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Dans son septième roman, « Une trace dans le ciel », notre camarade Agnès Clancier évoque la vie de Maryse Bastié, aviatrice et résistante. L’ouvrage est maintenant disponible en format poche depuis la fin du mois de mai

 

L’occasion de retrouver l’article publié sur le site lors de la première parution en 2017.

 

« Une trace dans le ciel » – Ed. Arléa Poche – 11cm x 18cm – 285 pages ISBN 2363081943 – Mai 2019 – Prix : 9 euros

 

Agnès Clancier romanchère invitée aux Rencontres de Gay-LussacAgnès Clancier est romancière. De parents enseignants, elle a fait ses études secondaires à Limoges, au Lycée Gay-Lussac. Ancienne élève de l’IRA de Bastia et de l’École nationale d’administration (ENA) (promotion René-Char), elle a vécu à Paris et à Sydney, ainsi qu’au Burkina Faso. Elle signe de nombreux ouvrages, tels que « Port Jackson » (éditions Gallimard), récit de l’installation des Européens en Australie en 1788 ou « Karina Sokolova », récit paru en 2014 aux Éditions Arléa, qui traite des thèmes de l’adoption et de la transmission familiale.

Après avoir côtoyé de près et avec succès Marcel Proust, Marguerite Yourcenar, Colette et Pablo Neruda, Estelle Monbrun (nom de plume de l’une de nos camarades, ancienne de Gay-Lu plus connue sous le nom d’Élyane Dezon-Jones, mais chut !), spécialiste reconnue dans le monde entier de l’oeuvre de Proust et de Yourcenar, poursuit ses « meurtres » en nous offrant un nouveau polar à la saveur inoubliable. Préparez-vous à redécouvrir Montaigne !

 

Parodier l’écriture érudite est le plus périlleux des exercices de style

Meutre à MontaigneUn rapide pincement des lèvres rouge vif aurait indiqué à une personne moins naïve que Mary que sa présence n’était pas vraiment souhaitée. Mais sa proposition fut acceptée, et, en chemin, elle apprit que Caro faisait ses études à l’École des beaux-arts et habitait à la Cité universitaire. Après deux bises à la française, que les Américains appellent air kisses et qui n’engagent à rien, Mary suivit des yeux sa nouvelle connaissance, qui emprunta l’avenue Foch après lui avoir fait un petit signe faussement désinvolte. Quelques instants plus tard, Caro envoyait sur son portable le message suivant à une adresse cryptée­ : « Le cabillaud sera une rascasse. Veronica. »

Avec Meurtre chez tante Léonie, Estelle Monbrun a inauguré la collection « ­Chemins Nocturnes­ » aux Éditions Viviane Hamy. D’autres « meurtres » suivront. On la compare souvent à David Lodge et à Agatha Christie : « L’auteur emprunte au premier des références sarcastiques sur le milieu universitaire, représenté avec un humour impitoyable, mais aussi attendri. À la seconde, son art de la narration, des fausses pistes, des coups de théâtre. » René de Ceccatty, Le Monde.

Vous voilà prévenus.

 

Meurtre à Montaigne – Editions Viviane Hardy, Collection Chemins Nocturnes – Mars 2019
Broché – 13,2 x 2 x 21,1 cm – ISBN : 9791097417277 – 224 p. – Prix : 19€

 

Estelle MonbrunAncienne élève du lycée Léonard Limosin et diplômée d’un doctorat de lettres obtenu à Paris, Estelle Monbrun (nom de plume d’une proustienne émérite) s’est lancée dans une carrière de professeur de littérature française contemporaine aux États-Unis, à New-York puis à Saint-Louis. Elle s’avère être une spécialiste reconnue dans le monde entier de l’œuvre de Marcel Proust et de celle de Marguerite Yourcenar. Parallèlement à son métier d’enseignante, Estelle Monbrun écrit des polars publiés par les Éditions Viviane Hamy. Ses écrits mêlent fraîcheur d’écriture, par l’aspect ludique et parodique de sa production littéraire, et profondeur, par la qualité documentaire et scientifique que ceux-ci proposent.

 

Notre camarade Gérard Terrier, ancien du lycée Gay-Lussac, médecin hospitalier de métier, porte un regard amusé sur ces traditions au sens initiatique certain de la salle de garde.

Us et coutumes de la salle de garde

La salle de garde est un lieu « mythique ».

Malheureusement, avec l’évolution de la société, et le monde médical ne fait pas exception à la règle, les traditions se perdent. Ce petit ouvrage vous fait pénétrer au sein de coutumes et de rites qui remontent à la nuit des temps. Ces derniers sont souvent l’objet d’inexactes interprétations, voire de fantasmes.

Cette description, vue « de l’intérieur », permet de faire connaissance avec un milieu où les traditions, les us et coutumes et les symboles, bien qu’ancrés depuis des siècles, sont en train de s’étioler voire de tomber en désuétude.

 

Us et coutumes de la salle de gardeEditions l’Harmattan Collection Médecine à travers les siècles – Avril 2019
Broché – format : 13,5 x 21,5 cm – ISBN : 978-2-343-17138-8 • 3 avril 2019 • 82 pages – 11,50 €

 

Gérard TerrierAncien élève de l’école primaire du boulevard Saint-Maurice et du Lycée Gay-Lussac, Gérard TERRIER entre à la Faculté de Médecine de Limoges et il deviendra Médecin hospitalier durant des décennies. En 2004, il est nommé Chef de service des soins palliatifs du C.H.R.U. Dupuytren. Par ailleurs, il s’adonne à l’Écriture avec bonheur et il a publié plusieurs ouvrages en lien son vécu du milieu médical.

 

Vous avez publié un ouvrage, enregistré un disque, réalisé un film… Pensez à nous en informer, nous nous en ferons le relai auprès du réseau des Anciens de Gay-Lu. Contactez-nous !

Notre camarade, Laurent Bourdelas, historien et écrivain passionné de l’histoire de Limoges, publie un nouvel ouvrage riche de nombreuses illustrations. « Les Bouchers du Château de Limoges » met à l’honneur l’histoire de la corporation des bouchers de la ville de Limoges, de la confrérie Saint-Aurélien, histoire également d’une rue et d’un quartier, du Moyen-Âge aux heures contemporaines : histoires, anecdotes, personnages, temps forts… 

 

Le Mot de l’Editeur

Dans cet ouvrage très richement illustré, l’auteur propose une histoire renouvelée de la corporation des bouchers du Château de Limoges, essentiellement ceux de la rue de la Boucherie. Remontant à l’Antiquité, évoquant le Moyen Âge, puis l’Ancien Régime et la période révolutionnaire, il étudie le XIXe siècle et la période contemporaine, nourrissant son travail de ceux de ses prédécesseurs, de celui des archéologues, mais également d’archives inédites, dont celles de la Confrérie Saint-Aurélien. C’est ainsi que l’on découvrira l’histoire du Cercle Saint-Aurélien, créé à la fin du XIXe siècle dans l’esprit corporatiste et chrétien cher à Albert de Mun.

Étudier cette rue emblématique de la ville de Limoges, c’est comprendre qu’elle se situe au carrefour de l’artisanat et du commerce, de la vie familiale, de l’architecture, de la religion, de la politique et de la gastronomie. C’est aussi saisir qu’elle participe de l’identité limougeaude, à tel point qu’elle a inspiré les écrivains et les poètes, mais aussi les peintres et les photographes, dont Laurent Bourdelas nous livre ici une anthologie. Le quartier a évolué au fil du temps, mais il est encore bien vivant et toujours cher à ceux qui le fréquentent, qu’ils soient de Limoges ou d’ailleurs.

 

Table des matières

  • Préface de Pierre Lamige, 1er syndic de la Confrérie Saint-Aurélien
  • La boucherie au temps des Gaulois et des Romains
  • Moyen Âge
  • Des Temps modernes au XIXe siècle
  • Dix-neuvième siècle et début du vingtième
  • Le Cercle Saint-Aurélien, entre corporatisme, religion et loisirs, de 1887 aux années 1960
  • La Confrérie Saint-Aurélien et la rue de la Boucherie des années 1960 aux années 2020
  • Une « figure obligée » : écrire sur les bouchers et leur rue
  • Peindre et photographier la Boucherie et les ostensions

Les Bouchers du Château de Limoges – Laurent Bourdelas – Editeur : Geste Editions, Collection Beau Petit Pays – Mai 2019 – 15,5 x 22 cm – 264 pages – ISBN: 979-10-353-0331-0 – Prix public : 20 €

 

Laurent BourdelasLaurent Bourdelas, écrivain, fait partie des Anciens de Gay-Lu. Impliqué dans l’association, il est notamment à l’origine de la création des Rencontres de Gay-Lussac.

 

Anciennes et anciens de Gay-Lu, vous avez vous aussi récemment publié un livre, réalisé un film ou même enregistré un album ? Faites-le nous savoir afin que nous puissions relayer l’information sur le Mag !

Le Faubourg des diaboliques, une nouvelle enquête de l’antiquaire Hippolyte Salvignac, est signée Philippe Grandcoing, professeur agrégé d’histoire en classes préparatoires aux grandes écoles au Lycée Gay-Lussac, engagé dans l’association des Anciens de Gay-Lu. Après Le Tigre et les pilleurs de Dieu, Philippe Grandcoing signe ici un nouveau roman historique dans lequel Le Tigre se trouve confronté au trafic d’art. De Picasso à Apollinaire, une plongée au coeur du Montmartre historique.

 

Le Faubourg des diaboliquesÀ l’été 1907, Hippolyte Salvignac, antiquaire parisien, est accusé du meurtre de l’époux de son ancienne maîtresse. Afin de prouver son innocence et de disculper un ami de Picasso, il enquête au coeur des élites parisiennes, de Montmartre au faubourg aristocratique du boulevard Saint-Germain, tout en recherchant les origines familiales de son ami, l’inspecteur Jules Lerouet.

Le Mot de l’Editeur

L’antiquaire et enquêteur amateur Hippolyte Salvignac est de retour dans la France haute en couleurs de Clemenceau ! Accusé d’avoir assassiné le mari de son ancienne maîtresse, il devra batailler pour prouver son innocence, mais aussi pour disculper un ami de Picasso. Ces nouvelles aventures le mènent tout autant dans le Paris interlope de Montmartre où naît l’art du XXe siècle, qu’au coeur du faubourg aristocratique du boulevard Saint-Germain. Au fil de ses investigations où s’entremêlent la quête des origines familiales de son ami l’inspecteur Jules Lerouet et la plongée au plus profond des turpitudes des élites, il découvre également un pays aux puissants contrastes, depuis la Sologne des chaumières et des châteaux jusqu’au Midi languedocien ravagé par la crise viticole.

Alliant toujours la qualité de l’information historique et un réel sens de l’intrigue, l’auteur fait revivre un moment riche en événements, celui de l’été 1907, où se forge dans la douleur et l’exaltation la modernité du XXe siècle, celle des Demoiselles d’Avignon mais aussi celles d’une économie mondialisée et d’une démocratie aux prises avec les colères populaires. Autant de défis pour les personnages historiques croisés au fil de ces pages captivantes, de Clemenceau à Picasso, en passant par Derain et Apollinaire.

Le Faubourg des diaboliques – Éditions De Borée – Collection : Vents d’histoire – Mars 2019 – Couverture : brochée – Format : 14 cm x 22,5 cm – 336 pages – ISBN : 2812924845 – 19,90 €

 

 

Philippe GrandcoingPhilippe Grandcoing est professeur agrégé d’histoire en classes préparatoires aux grandes écoles (hypokhâgne et khâgne) au Lycée Gay-Lussac à Limoges. Spécialiste de l’histoire de la société limousine des XIXe et XXe siècles, il consacre son talent d’historien à sa région. Auteur de nombreux ouvrages historiques et universitaires, il se lance aujourd’hui dans le roman historique avec cette première enquête de l’antiquaire Hippolyte Salvignac.

Philippe Grandcoing est engagé dans l’association des Anciens de Gay-Lu, en tant que membre du Comité.

Avec son nouveau roman, « Le Noyé des bords de Vienne », notre camarade Laurent Bourdelas, signe son 38e ouvrage, et nous entraine dans une histoire partagée entre vérité historique et fiction assumée.

 

Le Noyé des bords de Vienne

 

Une nouvelle aventure du Capitaine Vinoy, une enquête tout en finesse qui ménage le suspense d’un bout à l’autre, nous faisant passer du Limoges d’aujourd’hui au Paris de la Révolution. Avec l’apparition d’une personnalité singulière, Imbert de Boudeau, prêtre défroqué, franc-maçon.

Découvrirons-nous qui est le noyé des bords de Vienne ?

 

Le Noyé des bords de Vienne – Laurent Bourdelas – Editeur : Editions Mon Limousin – Mars 2019 – Collection Noir Limousin – Broché, reliure cousue – 144 pages, 21 cm x 14,8 cm – ISBN : 978-2-49071-001-0 – 17 €

 

Laurent BourdelasLaurent Bourdelas, écrivain, fait partie des Anciens de Gay-Lu. Impliqué dans l’association, il est notamment à l’origine de la création des Rencontres de Gay-Lussac.

 

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« Deux fois disparue » est le dernier roman de notre camarade Florence Levet. Cette ancienne du Lycée Gay-Lussac est très engagée de l’association. Juriste de formation, elle a longtemps enseigné le droit comme les langues étrangères. En marge de sa vie professionnelle, et maintenant à la retraite, elle a toujours consacré son temps libre à l’écriture. 

 

Deux fois disparue« Lorsque le présent vient ranimer la flamme du passé.

Lorsque Lise vient demander à Guillaume Veyrel de l’aider à retrouver Caroline Rénier, sa mère disparue, elle ne se doute pas qu’elle va ranimer chez lui de lointains souvenirs encore douloureux. L’aventure dans laquelle se lance alors le jeune enquêteur lui ouvre des perspectives inattendues et l’histoire dont il a vécu quinze ans auparavant les débuts va connaître de surprenants prolongements. Qu’est-ce qui l’attend au bout de sa quête ? Retrouvera-t-il Caroline ? Ou bien sa vie prendra-t-elle un nouveau tournant ? »

 

Deux fois disparue – Florence Levet – Editeur : Nombre 7 – Janvier 2019
Dos carré collé – 148×210 – 410 pages – ISBN : 2368325514 – 20 €

 

Florence LevetJuriste de formation, universitaire et mère de famille nombreuse, Florence Levet consacre ses loisirs à l’écriture et à la musique. Auteure de nombreux romans, « Une vie pour une autre » a obtenu le premier prix au Salon des Pages Libres du Limousin en 2014. Elle est engagée dans l’association des Anciens de Gay-Lu, en tant que membre du Comité.
En savoir plus sur le parcours de Florence

 

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Notre camarade, Gérard Peylet, rend un hommage sensible à Joseph Rouffanche, grand poète limousin et ancien du lycée Gay-Lussac, au travers d’un essai paru aux éditions PULIM.

 

Joseph RouffancheJoseph Rouffanche, grand poète lyrique, discret et exigeant, a vécu en Limousin, loin de Paris, de ses modes et de ses snobismes. Il n’a pas connu la renommée nationale que son oeuvre méritait de rencontrer. Sa poésie n’existerait pourtant pas sans le Limousin, terre inspiratrice et fondatrice de l’écriture.
Il ne s’agit pas pour autant d’une oeuvre régionaliste. Elle nous plonge dans une méditation plus large sur l’être, la mémoire, le temps. C’est cette écriture moderne, épurée, universelle, ainsi que son étonnante évolution vers la forme brève – presque le haïku – que nous voulons faire connaître.

« Joseph Rouffanche, une grande voix poétique » – Editions PULIM Presses Universitaires de Limoges – Janvier 2019 – Livre broché, 124 pages. ISBN 978-2-84287-794-1. Prix conseillé 15 €.

 

Gérard PeyletGérard Peylet est professeur de littérature moderne et contemporaine à l’université de Bordeaux III, spécialiste de la littérature « fin de siècle » à laquelle il a consacré différents ouvrages. Il a écrit aussi un ouvrage sur George Sand Le Musée imaginaire de George Sand publié chez Nizet en 2005. Il a dirigé une vingtaine d’ouvrages collectifs et dirige depuis 1998 le Lapril (Laboratoire Pluridisciplinaire de Recherches sur l’Imaginaire appliquées à la Littérature) et, au sein des P.U.B, les collections Eidôlon et Imaginaires et Ecritures. Gérard Peylet est impliqué dans différentes associations, Les Anciens de Gay-Lu bien sûr, ainsi que l’ARAL Association régionale des amis du Limousin.

Avec son ouvrage « Pas de TGV pour les ploucs. Déménagement des territoires et désintégration sociale », Bernard Cubertafond, ancien de Gay-Lu, nous propose ici un essai au titre évocateur, dans lequel il évoque le ressentiment d’un territoire limousin enclavé, ainsi que le vécu d’un homme tiraillé entre Paris et province.

 

Pad de TGV pour les ploucsLa politique volontariste d’aménagement du territoire s’efface derrière une insidieuse volonté de mise en concurrence des villes et des régions. Et de mise sous tutelle des élus sommés d’entrer dans des cadres d’action et de faire des économies. Pas de TGV pour les ploucs est la complainte de ce que les sachants parisiens, qui choisissent les grands investissements d’ « interêt général », appellent, coloniaux, et condescendant, « les territoires ». Il.insiste sur le Limousin à qui on a promis, puis refusé, le TGV, et dont on a, sans réel débat, supprimé la région. Il alerte : « ne serait-il pas en train de multiplier les « territoires perdus » de la République » ?

« Pas de TGV pour les ploucs. Déménagement des territoires et désintégration sociale » – Les éditions des gens qui doutent – Novembre 2018 – ISBN 979-10-699-3035-3 – Prix 7,50 €
En vente dans les librairies Page et Plume et Anecdotes à Limoges.

 

Bernard CubertafondBernard Cubertafond, professeur de droit public et de sciences politiques, a enseigné à Limoges, Rabat, Sciences-po Grenoble et Paris 8. Auteur d’études et ouvrages devenus classiques sur l’Algérie, le Maroc et le droit constitutionnel, on lui doit aussi des récits dont le très piquant Province, capitale Limoges. Il a suivi toute sa scolarité secondaire au Lycée Gay-Lussac, ainsi que son Hypokhâgne (1957-1965).

En août 2018, notre camarade Guy Lachenaud publie, sous le titre « Comme un arbre qui marche », son livre de souvenirs aux éditions Amalthée. Parmi ses souvenirs personnels, des réflexions liées à son métier ou à l’actualité et des notices érudites, il évoque ses jeunes années de « galopin », passant par Limoges, au Lycée Gay-Lussac.

Comme un arbre qui marche« Je dis parfois que je suis un héritier, bien éloigné, de Vallès, de Péguy et des camarades dont l’école a favorisé la promotion. Je ne puis m’empêcher de stocker des notes de lecture comme autant de tesselles en attendant qu’elles prennent place dans la mosaïque de mes écrits. C’est pourquoi je suis bien incapable d’écrire sans notes de bas de page. »

En mêlant le caractère intime de sa vie personnelle au sérieux de ses années de recherche, Guy Lachenaud nous livre un récit autobiographique saisissant. Équilibre parfait entre science et authenticité, de l’antiquité grecque ou romaine au monde d’aujourd’hui, découvrez les cahiers entrelacés d’un humaniste.

« Comme un arbre qui marche » de Guy Lachenaud – Editions Amalthée – Août 2018 – Livre broché 21x14cm – 242 pages – ISBN 978-2-310-03902-4 – Prix de vente : 19,90 € en librairie, 9,99 € en version numérique.

 

Guy LachenaudGuy Lachenaud est Professeur émérite à l’Université de Nantes, depuis septembre 2002. Passionné de langue, littérature et civilisation grecques, il consacre sa carrière à transmettre son savoir et ses réflexions. Il se décrit lui-même sur son site comme « compagnon d’Hérodote » et souhaite partager ses engagements citoyens, et des réflexions concernant les humanités et l’humanisme.
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