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Certains élèves se demandent comment agir dans leur lycée. A leur niveau, c’est avant tout s’informer sur la vie lycéenne, voire s’impliquer dans le CVL Conseil de vie Lycéenne ou la Maison des Lycéens par exemple. Pour certains, au lycée Gay-Lussac de Limoges, cela s’est concrétisé par la création d’un journal lycéen « Le Gay-Lu Times ». Après un « teasing » en vidéo, Emma et Maxime, membres engagés de l’équipe de rédaction actuelle nous livrent ici quelques secrets des origines de cette publication que l’on espère pérenne.  

Aux origines du Gay-Lu Times

Le Gay-Lussac (Revue des Sciences) de 1891

Comme le dirait Edgar Morin « La vraie nouveauté naît toujours dans le retour aux sources« . Cela n’est pas s’en faire écho à la création du Gay-Lu Times.

Eh oui ! En 1978, les élèves de Seconde de la classe A1, chaperonnés par leur enseignant, avaient déjà voulu doter le lycée d’un journal, sous le nom du « Détecteur ». Les écrits parus visaient surtout à partager des contenus comiques sur la vie du lycée et de Limoges, bien que certains sujets choisis puissent également être d’un ordre sérieux. Pour « s’opposer » amicalement à ce journal, une autre revue s’était formée au sein même du lycée, le « Détracteur ». Mais suite à quelques changements, le « Détracteur » est vite devenu « L’Écho du cancre », entrant toujours en concurrence directe avec le premier. Ces rivalités entre journaux existent depuis l’apparition du lycée en 1631.

Si aujourd’hui le lycée Gay-Lussac ne possède qu’un seul journal, il a toutefois su perdurer dans le temps depuis qu’en 2020, des élèves motivés l’ont remis au goût du jour !

C’est ainsi dans ce souci de marcher dans les pas de nos « ancêtres » ; de ces « grands », que l’idée de mettre sur pied un journal est venue, avec pour fil d’Arianne, la volonté d’offrir une noble nourriture intellectuelle au plus grand nombre. Mais avant de nous atteler à une telle tâche, il fallait apprendre à marcher avant de courir. Car, pendant que le souvenir du bulletin « J’ai lu ça » persistait dans certains esprits, il n’en demeure pas moins qu’un tel lycée comme celui de Gay-Lussac avait depuis quelques années, divorcé avec le monde journalistique. Combien d’élèves, journalistes en devenir ou ayant connu la simple joie des périodiques de collège, se trouvaient déconcertés, presque stupéfaits, de ne pouvoir continuer d’alimenter leur soif de connaissance ; leur goût du partage ; et plus que tout, leur passion pour l’information et l’écriture.

Aussi, tel est ce credo que l’ancienne élève de Première, Juliette Machinaud, a voulu voir réapparaître ; a voulu pérenne. L’idée de donner naissance au présent Gay-Lu Times, dont le 3e anniversaire a été célébré le 23 mars, s’est donc en toute logique imposée à elle. Et à l’instar de la grande presse américaine, c’est à l’unanimité que ce journal, descendant d’une grande lignée de médias lycéens, fut baptisé « Gay-Lu Times ».

Les démarches administratives, les formalités et autres « paperasses », comme il est coutume de l’entendre dans le jargon, pouvaient enfin débuter. Heureusement, avec l’aide apportée par l’équipe des documentalistes, mais aussi par l’Association des Anciens Élèves de Gay-Lussac, celles-ci ont été facilitées et le Gay-Lu Times a connu sa propre « success story » qui n’en finit pas de grandir ; qui redouble d’intensité à chaque partenariat noué. Et dans cette optique d’une montée en flèche, le soutien est également venu d’autres médias limougeauds, véritable entraide fraternelle dans cette grande famille qu’est la presse, et où nous avons pu compter sur l’appui du Populaire, de France Bleu, de NRJ, ou encore de France 3.

L’intérêt d’avoir pu fonder une telle famille apparaîtra alors de façon évidente à qui toucha au moins une fois en sa vie à des questions nous passionnant, tout comme elles déclencheraient chez n’importe quel individu l’ardente envie de développer un certain éclectisme ; de se sensibiliser à tous les enjeux de notre monde contemporain. De là, les membres actuels ont eux aussi été attirés par l’idée (aujourd’hui réalité depuis 3 ans) de faire part de leurs passions, de quelque nature que ce soit, au grand public. De fait, tous les thèmes, tous les goûts se retrouvent, s’entrelacent dans cette délicieuse mélodie que composent rencontres, aides mutuelles, altruisme ; bonhomie des uns, candide désinvolture des autres, les opposés s’attirant pour céder le pas à une ambition commune : le partage de l’information repensée, accessible à tous et produite pour tous. C’est pourquoi, afin de pourvoir à cette perspective, tous les sujets d’articles sont mobilisés. Des conseils culinaires à l’Histoire en passant au détour d’un mot (ou deux) sur ces Belles Lettres qui illuminent et animent toujours un monde qui tend à sombrer dans la désinformation et la bêtise, sont autant de thèmes qui font la structure du Gay-Lu Times.

Gay-Lu Times (Le Journal des Lycéens) du 3 mars 2021

Une organisation agile compatible avec les études

Le travail au Gay-Lu Times est composé d’articles individuels ou collectifs, rédigés mensuellement par tous les membres. Ainsi, étant une équipe d’environ une dizaine d’élèves, nous publions un peu plus de dix articles de Septembre à Juin. Nous attendons de la part des élèves volontaires une certaine motivation, qui les engagera à écrire au moins un article par mois. Le nombre de pages est indéfini, laissant la possibilité à chacun de développer à son rythme son talent pour l’écriture. Cette illimitation se retrouve également dans le choix des thèmes.

Au Gay-Lu Times, les journalistes en herbe sont libres de rédiger des articles sur leurs passions, leurs activités, la vie du lycée ou même encore la culture en général.

Tout ce qui inspire est sujet à être au cœur d’un article. Même si certaines publications sont « à thème », permettant ainsi à ceux en manque d’inspiration d’explorer les différentes facettes d’un sujet commun, chacun est libre de choisir un autre objet de rédaction. Ainsi, le Gay-Lu Times est ouvert à tous, à toutes les filières, à tous les niveaux, à tous les élèves déterminés et engagés. Une relecture générale est faite avant toute parution pour que chacun partage son travail avec les autres membres. Pour celles et ceux qui hésiteraient encore à se joindre à nous, sachez qu’avec une bonne organisation personnelle, votre travail scolaire ne sera nullement dérangé. Il est toujours possible lors de périodes d’examens, de s’arranger avec d’autres membres pour ne pas écrire un article exceptionnellement dans le mois !

Concernant l’organisation interne du journal, chaque personne inscrite a un rôle attribué en début d’année qu’il conserve par la suite, sur ses trois années lycéennes ou simplement sur l’année. Que ce soit rédacteur, dessinateur, attaché de presse, trésorier, président, secrétaire… chacun trouvera la fonction faite pour lui ! Des réunions par visioconférence ont lieu deux ou trois fois par an pour faire le point sur les parutions à venir et les événements prévus. Si les différents emplois du temps de tous le permettent, des rencontres réelles pourront être organisées éventuellement. Ces appels à distance permettent dans un premier temps de faire connaissance avec tous les autres élèves au début d’année, puis d’organiser la vie du journal, aussi bien dans son format papier que numérique. Le journal est en effet imprimé puis disponible à la lecture au CDI. Mais il est tout aussi possible de suivre l’actualité du Gay-Lu Times sur les réseaux sociaux et internet.

Par ailleurs, nous vous informons, très estimé(e)s lecteurs/trices, que vous pouvez d’ores et déjà vous joindre au Gay-Lu Times, ou simplement observer la course de son évolution, via notre site web www.gaylutimes.fr ainsi que les réseaux sociaux à l’instar d’Instagram, de Twitter, de LinkedIn ; ou nous contacter dans l’un de nos groupes de discussions et de réflexion sur WhatsApp, Discord voire nos boîtes mails (gaylutimes [@] gmail.com ; recrutementgaylutime [@] gmail.com).  À savoir que, comme toute grande famille qui se respecte, les branches de notre arborescence s’étendent chez les Anciens de Gay-Lu qui, grâce à leur indéfectible et indélébile soutien, nous ont permis de grandir et de devenir ce que nous sommes aujourd’hui. Qu’ils en soient remerciés !

Emma & Maxime
pour l’équipe du Gay-Lu Times

 

En complément, vous pouvez retrouver l’article publié en 2021 par Le Populaire du Centre

L’équipe de rédaction. © Photo Aline Combrouze pour Le Populaire du Centre

Gay-Lu Times, kezako ? Vous en avez probablement déjà entendu parlé, c’est LE journal lycéen du Lycée Gay-Lussac de Limoges. Nous avons récemment sollicité l’équipe de rédaction du Gay-Lu Times pour nous en dire plus sur ce média qui souffle aujourd’hui ses trois bougies. En amont d’un article plus fourni, ils nous partagent une petite vidéo « teasing ».

 

Retrouvez le Gay-Lu Times sur les réseaux :

Pour en savoir plus sur le journal lycéen Le Gay-Lu Times, lisez l’article complet « Gay-Lu Times : du bourgeon à la fleur », proposé par Emma et Maxime, membres de l’équipe actuelle de rédaction.

L’éducation aux médias et à l’information est présente dans le parcours de formation des élèves, dès leur plus jeune âge, jusqu’au lycée. La mise en oeuvre de cette culture de l’information et des média est portée par les enseignants documentalistes, avec la mobilisation de collègues enseignants en interdisciplinarité. Dans l’académie de Limoges, le lycée Gay-Lussac s’est engagé dès 2021 dans un projet d’envergure, le projet Albert Londres. En 2022, une trentaine d’élèves a eu la chance de participer au déplacement à Paris, afin de découvrir les coulisses de l’Agence France Presse et de France Télévisions.

Le projet Albert Londres en lycée

Une expérimentation initiée dès 2021 au lycée Gay-Lussac de Limoges

Le projet Albert Londres en lycée est un projet ambitieux d’éducation aux médias et à l’information (EMI). L’enjeu est de permettre à des lycéens encadrés par leurs enseignants d’étudier la sélection de reportages papier et de reportages et documentaires audiovisuels du Prix Albert Londres et de rencontrer l’un des lauréats.

En partenariat avec l’association Albert Londres et la SCAM, une expérimentation autour des œuvres sélectionnées pour le prix Albert Londres 2021 a pu voir le jour en lycée dans l’académie de Limoges, à l’initiative de deux professeures documentalistes du lycée Gay-Lussac à Limoges, Mme Denis et Mme Rouveron, accompagnées de la lauréate du prix Albert Londres, la journaliste Anne Poiret. Elles coordonnent cette expérimentation avec l’aide précieuse de Stéphane Joseph de la société civile des auteurs multimédia (SCAM).

En 2021, la classe de 2de3 du lycée Gay-Lussac a ainsi eu la chance de se rendre à Paris le 19 novembre, pour assister à la journée consacrée à Albert Londres organisée par la BNF. En 2022, c’est la classe de 2nde9 qui a consacré une journée à la découverte de la AFP et de France Télévisions à Paris.

En savoir plus sur le projet dans l’académie de Limoges

Consultez le Blog dédié au projet Albert Londres dans l’académie de Limoges : publication des critiques sur les œuvres sélectionnées, partage par les enseignants de séances pédagogiques et supports de cours… 

Classe de 2nde9 sur le plateau JT

La classe de 2nde9 du lycée Gay-Lussac de Limoges sur la plateau du JT de France 3, dans le cadre du projet Albert Londres 2022.

Un projet soutenu par l’association des Anciens de Gay-Lu

Chaque année, l’association des Anciens de Gay-Lu soutient différents projets éducatifs, culturels et sociaux au profit des élèves du lycée et de classes préparatoires.

Dans le cadre de cette mission, l’association apporte son soutien au projet Albert Londres, par une participation financière au déplacement du groupe avec la classe de seconde et de l’équipe pédagogique d’encadrement, pour leur voyage à Paris. Cette subvention, initiée en 2021 a été renouvelée en 2022.

Retour sur la journée parisienne du 15 novembre

« Mardi 15 novembre, la classe de 2de9 , encadrée par Mme Danthieux, professeure d’histoire, Mme Brauge, Mme Denis et Mme Rouveron, professeures documentalistes, a passé la journée à Paris.

Le matin, nous avons visité l’AFP (Agence France Presse) : après une présentation de l’histoire, du statut, des missions et du fonctionnement de l’agence, nous avons pu observer le travail des agenciers et échanger avec des journalistes et des photographes sur leurs métiers, sur les enjeux de l’information et de la désinformation, sur l’importance des sources et de la vérification des informations, sur le rôle de la photographie, sur la déontologie et l’éthique des journalistes etc.

AFP

Visite de l’AFP

Salle de rédaction

Salle de rédaction

Régie France TV

Régie France Info continu

Après une pause repas à l’abri dans le magnifique site Richelieu de la Bibliothèque nationale de France, nous avons rejoint le site de France télévisions. Nous avons eu la chance de visiter les studios et les régies tout en ayant des explications sur les tournages des JT et des émissions.

Nous avons ensuite été reçus par Julien Fouchet, journaliste et grand reporter, et par l’équipe de journalistes de l’émission « Envoyé spécial » qui ont nous expliqué le travail d’enquête, de réalisation des reportages, de fabrication de l’émission, le choix des sujets, la profession de reporter et de rédacteur en chef etc.

Cette journée s’inscrit dans le projet Albert Londres en lycée, un projet ambitieux d’éducation aux médias et à l’information auquel participe la classe. Tout au long de l’année, les élèves analysent les articles de presse et les films de la sélection du prix Albert Londres, étudient les enjeux de l’information et du reportage et rencontrent des journalistes.

Avant de reprendre le train, nous avons laissé un temps libre aux élèves place de la Bastille.

Un grand merci aux équipes de l’AFP et de France télévisions qui nous ont reçus avec beaucoup de gentillesse et de disponibilité.
Bravo aux élèves qui se sont montrés intéressés, curieux et enthousiastes lors de la journée.
Enfin, nous remercions vivement l’association des Anciens de Gay-Lu et la région Nouvelle Aquitaine qui, par leur soutien financier, ont permis l’organisation de cette journée. »

Compte-rendu réalisé par l’équipe pédagogique d’encadrement du projet, dont lecture a été faire lors de l’AG de l’association des Anciens de Gay-Lu, le 20 novembre 2022. Photos Odile Danthieux.

En savoir plus sur le prix Albert Londres

Les Anciens de Gay-Lussac ont eu le plaisir d’accueillir le lundi 20 mars à 17h30, M. Jérôme Cadet, journaliste à France Info, à l’occasion d’une nouvelle Rencontre.

Jérôme CadetRetenu par ses obligations professionnelles, Laurent Bourdelas, l’animateur habituel, avait dû céder sa place à Jean-Pierre Levet, auquel il avait confié la trame des questions qu’il avait prévues de longue date.

Le journalisme : une profonde vocation

Après avoir brièvement présenté l’invité du jour à un public que l’on aurait souhaité voir plus nombreux, Jean-Pierre Levet a ouvert la Rencontre en interrogeant son hôte sur son parcours au lycée et sur les impressions qu’il en avait conservées. Quelques souvenirs scolaires ayant été rappelés, Jérôme Cadet a expliqué que devenir journaliste fut pour lui très tôt une authentique et profonde vocation. Il raconta comment, avec une inlassable ardeur, il commença son activité de serviteur zélé de l’information en offrant une collaboration bien souvent bénévole à divers organes de la presse écrite.

Une fois achevée sa formation professionnelle, dont il décrivit le contenu, il entama, après ses débuts professionnels dans le métier, ce qui allait être une belle carrière qui le conduisit à Radio France, de France Bleue à France Inter et à France Info, où il est actuellement responsable d’un important créneau horaire dans sa spécialité.

Le sens critique : un essentiel du métier de journaliste

C’est avec une grande clarté dans l’expression et beaucoup de franche simplicité que Jérôme Cadet exposa son parcours, n’omettant ni les difficultés rencontrées et surmontées ni les satisfactions éprouvées dans un travail accompli avec une passion constante. Il insista longuement, au fil des questions qui lui furent posées, sur la diversité des tâches du journaliste d’information, vivant dans une perpétuelle actualité qui ne cesse d’évoluer avec toujours présentes à l’esprit des préoccupations primordiales d’ordre déontologique. Elles le poussent à mettre en œuvre un sens critique toujours en éveil pour vérifier la fiabilité et la véracité de ses sources avant de transmettre ce qu’il a appris. Pour finir de convaincre des auditeurs vivement intéressés par ce qui leur était dit, plusieurs anecdotes significatives furent racontées en forme d’illustration des nécessaires exigences s’imposant à celui qui se donne pour mission d’informer avec sérieux et loyauté.

Questionné sur l’avenir des différentes formes de médias, Jérôme Cadet mit son expérience acquise par la pratique et sa connaissance du milieu journalistique au service d’une réflexion dense et enrichissante ouvrant, pour le plus grand profit de son auditoire curieux et captivé, de larges et intéressantes perspectives sur l’avenir et les transformations prévisibles de la presse écrite et des autres médias (radio, télévision, Internet). Faisant part de ses convictions personnelles fondées sur l’apport d’une pratique acquise de longue date et sur un examen lucide et critique de la situation présente, il évoqua ce que pourraient être les évolutions majeures des médias traditionnels ainsi que l’influence que ne manquera pas d’exercer sur eux le développement du numérique.

Une volonté de partage et d’échange

Toutes les réponses que Jérôme Cadet donna aux questions qui lui furent posées témoignèrent avec force de l’extrême vivacité de son attachement à un métier dont il a su montrer une vaste palette d’aspects, en en décrivant les difficultés, liées notamment à une obligation particulièrement rapide d’adaptation au réel de l’instant et aussi à de nouvelles conditions de travail (par exemple France Info passant de la radio à la télévision), sans oublier de décrire avec sincérité et conviction, de manière concrète et vécue, tout ce qu’apporte au journaliste lui-même le travail qu’il accomplit avec la certitude de remplir une mission passionnante au cours de laquelle peut surgir à tout instant l’inattendu, pour lequel il faudra réaliser avec une grande honnêteté intellectuelle et morale une transmission parfaitement maîtrisée.
Avec une belle aisance dans laquelle ne cessait de transparaître l’expression d’une véritable passion pour son métier, Jérôme Cadet répondit à toutes les questions qui lui furent posées par les élèves et les étudiants présents. C’est sans surprise qu’il encouragea ceux de ses auditeurs qui se sentaient attirés par cette profession à se préparer à l’exercer dans les meilleures conditions possibles et avec une persévérance qui ne se laisserait jamais affaiblir par d’inévitables obstacles à surmonter. Tous ceux qui ont sollicité des précisions et des conseils ont obtenu entière satisfaction au terme d’un débat vraiment enrichissant par lequel s’est achevée cette Rencontre avec un remarquable professionnel de la communication médiatique.

Au nom de l’Association des Anciens de Gay-Lussac, Jean-Pierre Levet, se faisant l’interprète de l’ensemble des participants, étudiants, anciens élèves et gens de la ville, remercia très chaleureusement Jérôme Cadet d’avoir accepté de venir s’exprimer à Limoges et fit observer que cette Rencontre avait pleinement correspondu à l’esprit de la série de manifestations culturelles conçue par Laurent Bourdelas.