Originaire du Limousin, et ancienne du Lycée Gay-Lussac de Limoges, Laurence Jardy est une autrice de romans policiers bien connue de la région. Elle nous propose avec La piscine était trop bleue une nouvelle enquête menée par le Capitaine Alexis Arkhipov. 

Le mot de l’éditeur

À Saint-Léonard de Noblat, Lise Deltheil, une petite fille de 9 ans, est retrouvée au fond de la piscine de la famille Bleda. Elle a suivi Achille, le fils de la famille, collégien plutôt provocateur, qui la fascine.

Seuls témoins possibles : la grand-mère Bleda, atteinte de troubles cognitifs, dont la mémoire fonctionne par intermittences, et le chien Galgo, rescapé des sévices infligés aux lévriers de chasse dans le sud de l’Espagne et adopté par la famille. La famille Bleda fonctionne sur un mode très conflictuel : relations fils/père, père/mère, belle-fille/belle-mère…Corinne, la mère, est prête à tout pour protéger son fils, et Sébastien, le père, traîne un passé peu avouable, connu de sa mère.

Achille refuse de raconter ce qui s’est passé. Après de longues hésitations, ils finissent par alerter la gendarmerie et c’est le capitaine Alexis Arkhipov, personnage récurrent des précédents romans de l’auteur, qui est chargé de l’enquête.

« La piscine était trop bleue » de Laurence Jardy, paru aux éditions Geste, collection Geste Noir. Octobre 2023
Livre broché, format 11 x 17,8  cm, 296 pages. ISBN 979-10-353-2239-7. Prix de vente : 13,90€

L’auteure

Laurence Jardy est née à Aubusson le 12 décembre 1966. Elle a poursuivi une partie de ses études au lycée Gay-Lussac de Limoges. Elle vit aujourd’hui à Saint-Léonard-de-Noblat.

Son attirance pour les livres a commencé très tôt. Les personnages de roman l’ont toujours aidée à étoffer une réalité qu’elle juge trop terne. Elle admire l’écrivain japonais Haruki Murakami. Comme lui, elle pense qu’il existe quelque part des territoires encore vierges si on parvient à poser un regard autre sur ce qui nous entoure.

Elle enseigne le français à des collégiens depuis près de 30 ans et ne se lasse pas de ces heures de cours qu’elle considère comme de vivifiantes conversations. Vent d’Est sur la collégiale fut son premier roman, suivi de La femme aux manières de chat, Cinquante jours pour mourir, Mortel Exil dans la série Alexis Arkhipov, dont La piscine était trop bleu est le dernier opus. Elle écrit également des nouvelles, dans le cadre de la série Cercle noir, proposée par la collection Geste Noir avec plusieurs de ses auteurs polars, parmi lesquels Franck Linol, Yves Aubard eux aussi anciens du Lycée Gay-Lussac.

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